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De La Et

Location:
Casablanca, Casablanca-Settat, Morocco
Posted:
April 27, 2025

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Resume:

r I et

Si u est continue et positive : admet une demi tangente verticale au

point dirigée vers le haut

Fonctions dérivées des fonctions usuelles

Les polynômes sont dérivables sur ℝ et : =

Si u dérivable alors

=

; >

u et v deux fonctions dérivables sur I alors ;

Les fonction sin ; cos sont dérivables et une fonction

réciproque, notée, définit sur = Par la relation {

=

*Les courbes de f et de sont symétriques

par rapport la droite d'équation y=x

Dérivabilité de en b avec = Si f est dérivable en a et alors est dérivable ymétrie de Fiche 2 : ETUDE DES FONCTIONS BRANCHES INFINIE Page 03 La limite Interprétation géométrique Schématisation du résultat Si

=

Alors la droite (D)

d’équation = est

asymptote verticale à Si

=

Alors la droite (D) : =

est asymptote horizontale

à voisinage de +

SI :

=0

Alors droite : = +

est asymptote oblique à voisinage de +

Si

=, On calcule

Si

=

Alors admet une

branche parabolique de

Direction la droite Au voisinage de +

Si

=

Alors admet une

branche parabolique de

Direction Au

voisinage de +

Si

On calcule

Si :

− =

Alors admet une

branche parabolique de

direction la droite

d’équation : = au

voisinage de +

Si :

− =

Alors la droite d’équation : = + est

asymptote oblique à voisinage de +

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 03 : Etude des fonctions

Logarithme-exponentielle

Prof : FAYSSAL

Page : 04

A) 1)F onction logarithme népérien

La primitive de

sur + [ qui

s’annule en 1 est appelée fonction

logarithme népérien on la note par ln

La fonction ln est définit et dérivable sur

l’intervalle + [ et =

Pour tout de + [ : =

On a ; = avec le nombre e est un

nombre irrationnel ;,

2) Propriétés algébriques le la fonction ln

; ℚ

3)Equations et inéquations

= = avec ℝ

4) Signe de la fonction ln sur + [

= =

Conclusion : (le tableau de signe de ln )

x 0 1 +

ln(x) − 0 +

5) Limites de la fonction ln

;

; ; + −

=

Exemple de méthode de changement de

variable pour calcul des limites

Calculons la limite

On pose = donc =

Et on a + donc +

= =

( car

6) Dérivée de la fonction ln(U) avec

Si U est dérivable sur I alors ln est

dérivable sur I et on a ; Primitives

Les primitives de la fonction

sur

sont les fonctions + ; ℝ B)1) Fonction exponentielle

La fonction réciproque de la fonction ln

est appelé fct exponentielle, elle est

définie et dérivable Sur ℝ

Pour tout dans ℝ : =

Pour tout de ℝ: > et =

Pour tout de ℝ =

Si U est dérivable sur I alors

Pour tout de 2) Propriétés algébriques le la fct exp

= ; ; =

=

et = ; ℚ

3) Equations et inéquations

= = ; < <

= ; avec >

= = ; avec >

4) Limites de la fonction exp

;

; ; + −

= + ;

= +

= − ;

= +

= ;

= +

=

Logarithme de base >

] ; ℝ); = 5) Primitives

Les primitives de la fonction

sur sont les fonctions

+ ; ℝ

Soit un réel non nul : Les primitives de

la fonction sur sont les

fonctions

+ ; ℝ

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 04 : Etude des fonctions

Primitives-Intégrales

Prof : FAYSSAL

Page : 05

1) Définition d’une Primitive d’une fonction

On dit que la fonction F est une primitive de f

ssi F est dérivable sur I et :

; Primitive des fonctions usuelles ; ℚ

= ; =

=

; 2) Définition d’intégrale d’une fonction

Soit F une primitive de f sur [ ; ]

L’intégrale de la fonction f de a à b est le

nombre réel noté par

tel que :

Remarque :

=

=

= −

3) Propriétés d’intégrale :

Linéarité de l’intégrale

; avec ℝ

Relation de CHELS

L’intégrale et l’ordre :

Si > 0alors

> 0

Si f alors

4) Intégration par parties

= [

5) Aire d’un domaine plan

L’aire du domaine

délimité par la

courbe et l’axe

des abscisses et

les droites d’équations = =

est : .

Avec u. a est l’unité d’aire 1 = ⃗ ⃗

> 0 sur[ ; ] alors :

.

< sur[ ; ] alors :

.

Si > sur [ ; ]et < sur [ ; ] alors :

=

L’aire du domaine délimité par et et les droites : = =

= .

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 05:

Equations différentielles

Prof : FAYSSAL

Page : 06

A) Equations différentielles de

premier ordre : = +

1) L’équation (E) ; = + tel que a et

b deux constantes réelles est appelée

équation différentielle linéaire

d’ordre1 ; ou y est la fonction inconnue

et ’ sa fonction dérivée

2) On appelle solution de l’équation (E),

toute fonction f qui vérifie

+

Résolution de l’équation : (E) ; = +

1) Les solutions de l’équation =

sont les fonctions y définies sur ℝ par :

=

ou k est une constante réelle

2) Les solutions de l’équation = +

sont les fonctions y définies sur ℝ par :

= −

ou k est une constante

3) Soient ℝ et ℝ

Il existe une solution unique y de (E) qui

vérifie =

B) Equations différentielles du second

ordre : + + =

1) L’équation : + + = tel

que a et b deux constantes réelles est

appelée équation différentielle linéaire

du second ordre ou y est la fonction

inconnue et y’ sa dérivée première et y’’

sa dérivée d’ordre 2

2) L’équation + + = s’appelle

l’équation caractéristique associée à

l’équation : + + =

Résolution de : (E) ; + + =

Soit le discriminant de L’équation

caractéristique + + =, associée

à : + + =

Cas 01 ; >

L’équation caractéristique

+ + =, admet deux solutions

réelles et

Donc les solutions de l’équation (E)

sont les fonctions y définie sur ℝ par :

= + ; ; ℝ

Cas 02 ; =

L’équation caractéristique

+ + =, admet une solution

réelle unique

Donc les solutions de l’équation (E) ;

sont les fonctions y définie sur ℝ par :

; ; ℝ

Cas 03 ; <

L’équation caractéristique

+ + =, admet deux solutions

complexes = + et = ̅̅̅

Donc les solutions de l’équation (E) ; sont

les fonctions y définie sur ℝ par :

; ℝ

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 06 :

Suite numérique

Prof : FAYSSAL

Page : 07

0) Raisonnement par récurrence

Soit un entier fixé et n un entier naturel

Pour montrer la proposition P(n)

On suit le principe de récurrence suivant :

• Pour n= n0 on vérifie que P(n) est vraie,

• Soit n un entier fixé tel que

On suppose que est vraie

Et on montre que est vraie

• Alors P(n) devient vraie

1) Suite croissante ; décroissante une suite de premier terme

− > é

− = Résultat alors ℕ); est décroissante alors ℕ;

2)Suite majorée ; minorée ; bornée

> é

< é

< < é

3) Suite convergente

Si

= ℝ on dit que la suite est convergente si non elle est divergente

Toute suite croissante et majorée est

convergente

Toute suite décroissante et minorée est

convergente

4) Limites des suites usuelles

= + ;

= +,

= + ;

= + ; ℕ

= ;

=,

= ;

= ; ℕ

5) Limite de la suite géométrique n’admet pas de limite

6)Suite géométrique - arithmétique une suite de premier terme et p un entier tel que géométrique arithmétique

Définition :

=

Définition :

− =

en fonction de n

=

Cas particulier :

=

en fonction de n

= +

Cas particulier :

= +

Somme des termes

= +

=

Cas particulier :

= +

=

Somme des termes

= +

=

Cas particulier :

= +

=

7) Limite d’une suite et l’ordre

• {

<

= +

= +

• {

<

= −

= −

• {

< <

= =

=

• {

− <

=

=

8) La suite définie par : = Si la fonction est continue en et

= alors

= 9) La suite liée à une fonction,

définie par : = f une fonction définie sur un intervalle et une suite tel que ℕ): = Alors si :

La fonction f est continue sur et

La suie est convergente et

Alors la limite de la suite est une

solution de l’équation = dans I

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 07 :

Nombres complexes (I)

Prof : FAYSSAL

Page : 08

A) Ensemble des nombres complexe

ℂ = { = + \ ℝ =

L’écriture + s’appelle la forme

algébrique du nombre = +

1) Conjugué d’un nombre complexe z :

= + ̅ = − ; ̅ le conjugué de z Propriété de conjugué d’un complexe

̅̅̅̅̅̅̅̅=+ ̅ + ̅ ; ̅̅̅̅̅̅̅̅= ̅ ; ̅̅ =

̅ =

̅

̅

; ̅ = + ; ̅̅̅ = ( ̅)

• ℝ = ̅ ; ℝ ̅ = −

2) Représentation géométrique d’un

nombre complexe dans un repère orthon

Soit et des points du plan :

• L’affixe du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = −

• L’affixe de I le milieu du segment [AB] est

tel que : =

• Points A, B et C sont alignés

3) Module d’un nombre complexe z :

Le module de = + d’image M est le

nombre réel positif noté définie par

= = ̅ = +

Propriété de module et Distance

• = − = ̅ = − ̅ = +

• = ;

=

• = ; + + Soient deux points alors la distance AB définie par : = −

B) Argument d’un complexe z : On appelle argument de

z une mesure, en radian

de l’angle orienté ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗ 1) Opérations sur l’argument

• ̅) −

2) Forme trigonométrique d’un complexe

= + = avec =

et =

L’écriture : = est appelé forme trigonométrique du

complexe z avec un argument de z

3) Détermination du forme trignométrique

Cas particulier ; ℝ+

= ℝ+

et =

= − ℝ−

et =

= ℝ+

et =

= ℝ−

et =

Cas générale ou = + ; ; ℝ

1) On calcule le module de

2)Factorisation: = + = 3) On cherche un argument de z tel que

=

et =

en utilisant le tableau et le cercle suivant :

; ℝ+

A

B C

D

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 07 :

Nombres complexes (II)

Prof : FAYSSAL

Page : 09

4) Interprétation géométrique d’argument

⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

(AB) // (DC)

A,B,C et D sont cocycliques ( appartenant

au même cercle)

M) ABC un triangle isocèle et rectangle en A

=

⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

M) ABC un triangle équilatéral

=

⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

M) Ensemble des points M(z) du plan

l’ensemble des points M d’affixe z tel

que : − = est un cercle de

centre et de rayon r ; > 0

l’ensemble des points M d’affixe z tel

que : − = − est la droite (D)

le médiatrice du segment [AB]

C) Notation exponentielle

On note le complexe de module 1 et

d’argument donc = 1) Forme exponentielle : =

= = 2) Opérations sur la forme exponentielle

Soient = et =

= ;

=

=

; ̅ =

̅̅̅̅ = ; = Formule de MOIVRE Formule D’EULER

=

et =

D) Résolution d’équations du second degré

Soit dans C l’équation : + + = tels que a ; b et c sont des réels

Si = − < 0, alors l’équation a deux racines complexes conjuguées

tel que =

et = ̅̅̅

+ =

=

E) Transformation dans le plan

1) Translation ⃗⃗⃗ de vecteur ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗)

Soit M’(z’) l’image de point M(z) par

translation ⃗⃗⃗ de vecteur ⃗⃗⃗ d’affixe ⃗⃗⃗ L’écriture complexe du translation ⃗⃗⃗

⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗ = + ⃗⃗⃗ 2) Homothétie de centre et de rapport k

M’(z’) l’image de M(z) par l'homothétie h de

centre et de rapport

L’écriture complexe del'homothétie h

= ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

’ − = 3) Rotation R de centre et d’angle

Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la

Rotation R de centre

L’écriture complexe de la Rotation R est

= {

=

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

− = Méthodes : ABCD est un Parallélogramme

) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

) Les diagonales

ont même milieu

ABCD est un Losange

) Parallélogramme dont les diagonales

sont perpendiculaires

) Parallélogramme =

ABCD est un Rectangle

) Parallélogramme qui a un angle droit

) Parallélogramme dont les diagonales

sont isométriques

ABCD est un Carré

) Rectangle et losange

) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗,

=

Préparation à l’examen Fiche 8 : Géométrie dans l’espace Page 10

⃗, ⃗, ⃗⃗⃗) un repère orthonormé de l’espace 1)Formule analytique du scalaire

Soient ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ on a :

⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗ = = + +

⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗ =

2)DROITE DANS L’ESPACE

Soit la droite passant par et de vecteur directeur ⃗⃗⃗ Une représentation paramétrique de = +

3)Plan dans l’espace - Vecteur normale

Tout plan à une équation cartésienne de

la forme : : + + + =

Le Vecteur ⃗⃗⃗ est un vecteur

normal au plan : + + + =

A un point et ⃗⃗⃗ un vecteur de l’espace

L’ensemble des points M de l’espace

tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗ = est un plan (P) passant par A et de vecteur normale ⃗⃗⃗

4) DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN

Soient : + + + = un plan et A un point de l’espace

=

+ + +

+ +

5) Sphère dans l’espace

Soit (S) la sphère de centre et de

rayon r l’équation cartésienne de (S) est : =

L’équation cartésienne de la sphère (S)

définit par son diamètre est donné par :

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = Proposition : l’ensemble des points M

L’ensemble des points de tel que : : + + + + + + = est un sphère si + + − >

Son centre est le point Son rayon est =

6)Position relative d’un sphère et un plan

Soit (S) une sphère de centre et de rayon

R (P) un plan et d la distance entre le

centre est le plan (P) : = Si d=R alors (S) est tangente à(P) un point H

Si d<R alors (S) coupe (P) Suivant un cercle

(C) de centre H et de rayon = −

Pour déterminer les cordonnées de H on

résoudre le système suivant :

{ : + + + =

Position relative d’une sphère et une droite

Soit (S) une sphère de centre et d rayon R

la droite passant par le point A et de

vecteur directeur ⃗⃗⃗⃗ Pour déterminer les cordonnées des points

d’intersections de (S) et, on résoudre le

système suivant :

{ = Expression analytique du produit vectoriel

⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ = =

⃗ −

⃗ +

⃗⃗⃗

⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ é ssi ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗

A ; B et C sont alignés ssi ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗

Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est un vecteur normal au plan (ABC)

Distance d’un point à une droite la droite qui passe par et de vecteur

directeur ⃗⃗⃗⃗ et un point de l’espace alors

=

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗

⃗⃗⃗⃗

Aire d’un triangle ABC

=

̂

=

⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗

Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 09 :

Calcul de probabilités

Prof : FAYSSAL

Page : 11

A) Dénombrement.

1) Cardinal d’un ensemble fini

Le nombre d’éléments d’un ensemble fini est

appelé le cardinal de E, noté par 2) Principe fondamentale de dénombrement

Soit une expérience dont les résultats

nécessitent choix,

Si le 1ère choix se fait de façons différentes Le è choix se fait de façons différentes, Le è choix se fait de façons différentes, Alors le nombre de résultats possibles est

donné par le produit :

3) Arrangements.

a) Arrangements sans répétition.

Arrangements sans répétition de p parmi n

= !

;

= ! ;

= .

Cas particulier : Permutations.

! = ; ; ! =

b) Arrangements avec répétition.

Le nombre d’arrangements avec répétition

de éléments pris parmi par est noté

4) Combinaisons.

=

!

=

!

! !

Remarques :

=

= ;

=

= et

=

5) Type de tirage et importance d’ordre .

Type de

tirage

Nombre

de tirages

Importance de

l’ordre

Avec remise Important

Sans remise

Important

Simultané

Sans importance

Nombre de possibilité d’arranger p éléments

non distincts (Coefficient d’ordre)

Si on a éléments de type A et éléments

de type B et éléments de type C tel que

+ + =

Alors le nombre de possibilités d’arranger

les p éléments dans p places est

!

B) Probabilité d’un évènement.

1) Propriétés :

= et .

̅) = − Hypothèse d’équiprobabilité :

2) Probabilité conditionnelle.

Propriété :

La probabilité de l’événement sachant

que est réalisé est le nombre noté ou défini par :

Arbre des possibilités :

On a + ̅),

Donc + ̅) ̅ . Cette relation est appelée loi des

probabilités totales

3) Indépendance de deux événements

Définition

* On dit que les événements et sont

indépendants si : .

Propriété

* Les événements et sont indépendants

si et seulement ; avec Préparation à l’examen

nationale du baccalauréat

Fiche 09 :

Calcul de probabilités

Prof : FAYSSAL

Page : 12

4) Epreuves répétées.

Soit un événement de probabilité .

La probabilité de réaliser exactement fois

l’événement est :

où est le nombre de répétition de l’épreuve

dans les mêmes conditions

5) Variable aléatoire-Loi de probabilité

d’une variable aléatoire.

a) Définitions :

Toute fonction définie sur l’univers à

valeur dans ℝ est appelée variable

aléatoire, notée ou ou

Les valeurs prises par la variable

aléatoire notées .

Soit une variable aléatoire définie sur

un univers associé à une expérience

aléatoire telle que : =

,

Déterminer la loi de probabilité de la

variable aléatoire,

C’est calculer la probabilité de chacun des

événements { = où, …,

On résume la loi de probabilité de par le

tableau suivant

b) Espérance mathématique-Variance et

écart-type.

Soit une variable aléatoire définie sur un

univers associé

L’espérance mathématique de la variable

aléatoire est le nombre réel noté définie par :

=

= + +

La variance de la variable aléatoire est

le nombre réel noté définie par :

=

=

+

+

L’écart-type de est : 3) Loi binomiale.

Soit une expérience aléatoire formée d’une

répétition fois de manière indépendante

d’une même épreuve à deux issues sont :

succès de probabilité, et ̅ échec de

probabilité = −

Soit la variable aléatoire égale au nombre

de fois que le succès se réalise au cours de

cette expérience.

On dit que la variable aléatoire suit la

loi binomiale de paramètres et,

notée .

La loi de probabilité de la variable

aléatoire est appelée loi binomiale de

paramètres et .

Propriété.

Soit une variable aléatoire suit une loi

binomiale de paramètres et, on a :

Les valeurs prise par la variable

aléatoire sont :,, …, }

L’espérance de la variable aléatoire

est : =

La variance de la variable aléatoire

est :

L’écart-type de est :



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